Submergé par l'amour de Jésus
Je n’ai pas eu d’éducation religieuse et « Dieu » était un sujet assez rarement évoqué en famille, encore moins à l’école. La notion de « Dieu », sans être taboue, ne faisait tout simplement pas partie du paysage quotidien.
C’est cependant l’observation de la nature qui m’a orienté vers la conviction d’un être créateur : « Dieu ».
Toutefois, bien qu'étant très intéressé par ce Dieu qui m’était personnel et que pourtant je ne connaissais pas, les religions m’effrayaient. En effet, lorsque les médias relataient des actualités concernant des confessions, c'était presque toujours des faits divers violents, destructeurs.
Si je mélangeais encore confusément Dieu et les religions qui s'en réclamaient, cet écart entre un Dieu présenté bon et des actes manifestement mauvais me donnaient l’envie de connaître Dieu Luimême et directement, sans passer par le filtre des interprétations « religieuses ».
Je pensais donc qu’il me fallait lire par moi-même les textes considérés comme étant des révélations directes de Dieu par leurs adeptes. D’une part, pour vérifier si les auteurs des terribles gros titres du 20H étaient cohérents avec leur Dieu, d’autre part, pour précisément m'en dégager et me faire ma propre idée.
Lors d'un voyage, ma famille avait sympathisé avec une famille musulmane. Je découvrais ainsi une autre façon de vivre, où la notion de « Dieu » faisait partie du paysage quotidien, ce qui m’attirait beaucoup. Il y avait une jeune fille de mon âge qui était sincère dans sa foi. Mes sentiments naissants pour elle me poussaient à enfin passer à l'acte de lire ces fameux Livres. Nous discutions beaucoup de Dieu.
Mon amie m’avait assuré qu’elle croyait aussi en Moïse, en Jésus et en la Bible en général, dont elle était sûre que le Coran faisait suite. Or, deux ou trois fois j'avais entendu parler de Jésus à la télé ou lors de mariages. Ce que j’avais entendu de Lui résonnait en moi car l’amour semblait important pour Lui. C'était également important pour moi et je pensais qu’il y avait dans l'amour quelque chose d’intimement lié à Dieu. Mon amie m’ayant affirmé croire aussi en Jésus, je me disais donc que ce serait bien de lire le Nouveau Testament en parallèle du Coran, puisque ce que j'avais entendu de Lui me parlait.
Cependant, même sans aucun bagage culturel théologique ou historique, des différences entre ces deux lectures m'apparurent bientôt, dont certaines assez conséquentes pour être qualifiées d'oppositions. Bien qu'à ce moment je ne saisissais pas encore ni l’étendue, ni la portée de ces divergences, je n'en discernais pas moins nettement l’origine : le degré d'amour.
Ce que je compris en lisant les évangiles, c’est que Jésus aimait tant les gens, y compris les religieux qui voulaient Sa mort, qu’Il a accepté de mourir plutôt qu’eux ne meurent. Un tel amour serait aveuglant, s’il n’était pas fait pour éclairer. C’est là que Dieu S'est fait connaître et c'est là que ma vie a changée parce que je venais juste d'être changé moi-même.
Submergé par l'amour de Jésus, l'Esprit de Dieu était entré dans mon cœur.
Cet amour-là, seul le Nouveau Testament en témoigne.
Un chrétien
C’est cependant l’observation de la nature qui m’a orienté vers la conviction d’un être créateur : « Dieu ».
Toutefois, bien qu'étant très intéressé par ce Dieu qui m’était personnel et que pourtant je ne connaissais pas, les religions m’effrayaient. En effet, lorsque les médias relataient des actualités concernant des confessions, c'était presque toujours des faits divers violents, destructeurs.
Si je mélangeais encore confusément Dieu et les religions qui s'en réclamaient, cet écart entre un Dieu présenté bon et des actes manifestement mauvais me donnaient l’envie de connaître Dieu Luimême et directement, sans passer par le filtre des interprétations « religieuses ».
Je pensais donc qu’il me fallait lire par moi-même les textes considérés comme étant des révélations directes de Dieu par leurs adeptes. D’une part, pour vérifier si les auteurs des terribles gros titres du 20H étaient cohérents avec leur Dieu, d’autre part, pour précisément m'en dégager et me faire ma propre idée.
Lors d'un voyage, ma famille avait sympathisé avec une famille musulmane. Je découvrais ainsi une autre façon de vivre, où la notion de « Dieu » faisait partie du paysage quotidien, ce qui m’attirait beaucoup. Il y avait une jeune fille de mon âge qui était sincère dans sa foi. Mes sentiments naissants pour elle me poussaient à enfin passer à l'acte de lire ces fameux Livres. Nous discutions beaucoup de Dieu.
Mon amie m’avait assuré qu’elle croyait aussi en Moïse, en Jésus et en la Bible en général, dont elle était sûre que le Coran faisait suite. Or, deux ou trois fois j'avais entendu parler de Jésus à la télé ou lors de mariages. Ce que j’avais entendu de Lui résonnait en moi car l’amour semblait important pour Lui. C'était également important pour moi et je pensais qu’il y avait dans l'amour quelque chose d’intimement lié à Dieu. Mon amie m’ayant affirmé croire aussi en Jésus, je me disais donc que ce serait bien de lire le Nouveau Testament en parallèle du Coran, puisque ce que j'avais entendu de Lui me parlait.
Cependant, même sans aucun bagage culturel théologique ou historique, des différences entre ces deux lectures m'apparurent bientôt, dont certaines assez conséquentes pour être qualifiées d'oppositions. Bien qu'à ce moment je ne saisissais pas encore ni l’étendue, ni la portée de ces divergences, je n'en discernais pas moins nettement l’origine : le degré d'amour.
Ce que je compris en lisant les évangiles, c’est que Jésus aimait tant les gens, y compris les religieux qui voulaient Sa mort, qu’Il a accepté de mourir plutôt qu’eux ne meurent. Un tel amour serait aveuglant, s’il n’était pas fait pour éclairer. C’est là que Dieu S'est fait connaître et c'est là que ma vie a changée parce que je venais juste d'être changé moi-même.
Submergé par l'amour de Jésus, l'Esprit de Dieu était entré dans mon cœur.
Cet amour-là, seul le Nouveau Testament en témoigne.
Un chrétien